samedi 3 janvier 2009





Vendredi 2 Janvier 2009

Il paraît que je dois vous souhaiter une Bonne Année...

Bonne Année ! ! !



Je suis de retour. Une semaine de vacances sans blogger, je sais que c'est assez inhabituel chez moi. Je dois arrêter de grignoter des fraises tagada. Comment allez-vous ? Avez-vous passé des vacances aussi extra spatiale que moi ? Avez-vous eu les plus cadeaux du monde par les meilleurs amis du monde ??? Avez-vous manger des litchis après vous être balader pendant le lever du soleil dans l'immense cimetière qui cotoie l'arrêt de bus qui donne vue sur votre ancien lycée ??? J'ai découvert que j'adorai Guillemots, Mozart, Pachelbel, Moriarty, Williams, Eddie Vedder, Newton Faulkner, Olivier Bernet, Regina Spektor, et tant d'autres !!!! J'ai marché en talons aiguilles dans mes moins de dix mètres carrés, ^^ jouer à la girafe est bien marrant, poêlant, mais lorsqu'il s'agit de sortir, aille aille, la funambulle a moins d'équilibre ! Je me suis allégrement transformé en glaçon, je suis sûr que Sophie, en Alsace doit être encore plus gelé que ces cubes d'eau !!!! Ce que je préfère lorsque je bois un chocolat chaud, c'est la mousse, de la goûte tout doucement, ensuite je bois cuillère par cuillière et j'attends la partie bondée recouvrant mes lèvres de leur chaleur chocolatée.

J'aurai tellement aimé qu'il neige !!!

Bref, j'ai bien entendu mille chose à raconter, mais je crois que jamais de ma vie je n'écrirai plus que ce mail que j'ai envoyé à Geneviève cette semaine !!!

^^

Bonne Nuit.

Et Merci.



" L'amour, qu'est ce que l'amour ? Je crois que l'amour est quelque chose qui au fond ne se laisse pas traduire en mots. L'amour, c'est comprendre quelqu'un, tenir à quelqu'un, partager bonheur et malheur avec lui... Et l'amour physique en fait partie tôt ou tard, on partagé quelque chose, on a donné et on a reçu, et ce, que l'on soit marié ou non, que l'on ait un enfant ou non... Que l'on ait perdu son honneur, peu importe, si l'on est sur d'avoir à côté de soi pour le reste de sa vie quelqu'un qui comprenne et que l'on n'ait à partager avec personne !"


Anne Frank


pour Emilie !!!



Et il n'y a personne pour me faire remarquer mes incohérences : nous sommes vendredi 26 Décembre 2008.


Elle veut être artiste, elle veut être chercheuse, elle veut tout savoir, elle aime le réel et l'irréel, elle est en partie inconsciente mais chavire trop souvent vers la responsabilité. Elle ne raisonne pas assez et un peu trop. Elle sombre car avec le temps qui passe s'érige un mur de contradiction en elle. Elle ne comprend plus ses choix.
Et avec ça elle est paresseuse, non pas rêveuse. Car ses rêves sont inaboutis, car ses rêves s'arrêtent à son regard sans pensée. Oui elle pense un peu trop et un peu pas assez. Elle s'inquiète, elle s'alarme et elle est calme.
Là, elle a le coeur qui ne bat pas régulièrement, il ralenti et fait un bond, elle a des larmes brouillent la vue (comme dans les romans), ces romans qui la fascinent, qui la dévorent, qui l'engloutissent, qui l'anéhantissent car ils la remplissent de leur richesse, de leurs aventures, de leurs savoirs, de leurs secrets. Elle est une coquille qui n'est plus vide mais un capharnaum d'inconnu gracieusement mélangé mais parfois décevant.
Elle est romantique. Comme ça, comme une plume indiscrète qui brise la logique d'un raisonnement. Elle est romantique, elle est livre ouvert, mais elle est incompréhensible, pour elle-même du moins. Elle est patiente et cependant elle souffre, elle pleure, elle perd peu à peu de ce magique espoir qui la tient. Elle est amoureuse, c'est certain. Mais combien de temps attendra-t-elle ? Oh, elle pense qu'elle peut patienter l'éternité, mais le bouton de la fleur, l'écrin oublié, a-t-il ces vertus d'immortalité ? Qui est elle ? En elle monte l'horreur de ce qu'elle est. En elle grandit le dégoût de sa propre chair, de sa vanité, de sa bêtise.
Elle soupire, là, précisement à cet instant, et le souffle d'air longtemps retenu fait vaciller la flamme de sa chandelle imaginairement posé au bord de son nid, de son lit. Dans la réalité c'est un écran qui illumine d'une lumière froide son visage sans sourire. Elle est fatiguée, elle est épuisée, elle a les joues qui tombent, un nez qui coulent, les lèvres gercées et molles, elle a les pupilles refermées, elle a les cils sans vigueur et les mèches qui lui tombent lourdement, pesement sur le visage, le cou, le dos. Elle a les mains fripées par le froid.
Cependant elle porte des chaussettes magiques (de son avis qui délire un peu), des chaussettes en laine blanche striées de rose, plutôt pointillées de rose, des chaussettes qui peut-être un temps la tireront de sa morosité et l'emmeneront dans un mélancolié plus douce.
Elle s'animera peut-être demain, peut-être aura-t-elle les joues à nouveau rougies, enfin, peut-être. Pour le moment, elle souhaite simplement que ses songes soient la légèreté du papillon et la chaleur du chocolat.
Elle attend.
Elle espère.
Elle aime.




Mercredi 25 Décembre 2008


Pourquoi donc suis-je ici le jour de Noël ???


Mademoiselle Maud Zelda Aglaé n'est pas la fée qu'elle souhaite représenter... x) !!! Aujourd'hui est une relativement belle journée et j'ai décidée de me laisser porter. Il commence à faire sombre, qui dit que le soleil se couche à seize et quart sur la Ferme de Calais...

Je m'en vais regarder David Copperfield...



[-- Come Back--]



Et bien j'étais déterminer à m'exprimer, où est-donc partie cette Fougue ? cette Folie, cette Force ?

C'est la Gourmandise qui l'a remplacé : Oh Oui ! Mein Gott !!! Une Gourmandise ronde et rayonnante, une Gourmandise avide et sophistiquée, une Gourmandise impétueuse et curieuse, une Gourmandise dévastatrice et envahiseuse...une petite Gourmadise jolie, une Gourmandise aux penchants naturels timides mais à la passion brûlante !


La soirée passa dans la douceur d'un songe.

Ils restèrent longtemps au coin du feu, et Tobie continua à les faire rire.


Et j'ai envie de vous raconter combien mon coeur a sourit ce matin, il y avait réellement, magiquement, des étoiles dans les yeux de mes petites soeurs. Elles étaient réveillées bien tôt, bien trop curieuse, bien peu silencieuses ! Adorables enfants, nous nous refusons à grandir (et ce d'un commun accord...). J'ai fait la photographe dans cette ambiance bouleversante, j'ai voulu garder dans mon appareil l'éphèmère moment de l'ouverture des paquets, de la conquête du dessous des papiers cadeaux et du sourire de la surprise et de la joie. Ce qui est amusant c'est que dans tout ceci on retrouve aussi l'humour un peu douteux de ma famille, les vacheries de frangines, les déceptions conjugales mais surtout et avant tout le plaisir d'offrir... C'est maintenant l'unique moment de l'année où je retrouve la complicité intense de mon enfance, les rires, les chatouilles, les goûters ensemble et les chamailleries gentilles...J'ai envie de partager ce plaisir personnel, j'ai envie de dévoiler ce secret familial, j'ai envie de protéger ce moment sacré pour moi en tentant coûte de coûte de la mémoriser dans mes pauvres mots...

Spatiale !!!!