vendredi 27 septembre 2013

A l'occasion de mon départ

Parfois je ne sais pas si il est plus facile de s'évader dans un monde imaginaire.
Ou de ressasser des souvenirs qui, chargés d'émotion, font vibrer mon corps et mon cœur.

J'embrasse du regard cette chambre où j'ai grandi, mûri, 
Et chaque objet me ramène à un moment particulier de ma mémoire;
Fiction ou réalité, des filaments d'émotions me rattachent ici. 

Comment partir ?



Le plus dur, finalement, c'est de se tendre vers l'avenir.


à écouter : Agnes Obel