vendredi 17 février 2012

"On ne va jamais si loin que lorsque l'on ne sait pas où l'on va." [-Rivarol-]

Ami du jour, bonjour.
Ami du soir, bonsoir.

(utiliser des expressions connus pour ne pas raconter n'importe quoi)


Trois brins d'herbe dans une flaque à demi-gelée.




Internet, c'est compliqué. Un blog, c'est public, c'est un livre ouvert à l'abri d'aucun regard. Mais je ne crois pas perdre mon intimité quand j'écris ici. J'écris ce que je pense, j'écris ce que je suis. Je publie mes photos, je publie des mots de moi-même et d'autrui qui me reflètent. A l'image de ma chambre, mon blog me décrit mieux que je ne saurai le faire dans une présentation. Et je n'ai pas peur de me dévoiler car c'est ainsi que j'ai envie que l'on me voit. Je suis libre de m'exprimer; Et j'aime m'exprimer. J'aime dire ce que je ressens.
Et en ce moment plus que jamais j'ai besoin de hurler. J'ai besoin que ce que je ressens sorte, s'échappe de moi car plus je me tais plus une boule vient alourdir mon ventre, vient serrer mes poumons. Je me perds quand je me tais. Et pourtant j'ai l'impression d'avoir perdu tout courage, je me suis perdue dans cette recherche insensée de la considération des autres. C'est l'heure (et le nouvel an l'occasion) de faire un voeu : dire ce que je pense et être ce que je suis.
Mais c'est dur. C'est dur car j'ai peur que l'on m'apprécie pour une idée que l'on a de moi et de ne plus correspondre à cette idée. Cela aurait beau être un mensonge, j'ai peur.

Allez p'tite miss !

Arrête de le chuchoter en rigolant et dit le vraiment !
J'aimerais ne pas m'être réveillée ce matin. J'aimerais être encore avec lui. J'aimerais qu'il soit avec moi. J'ai eu le coeur dans un état second pendant presque 4 jours, et la tête qui tournait avec toutes ces rencontres. C'était spatial ! C'était un peu enivrant et surtout très impressionnant. Etais-je à la hauteur ? ^^

Je t'aime Arnaud.
Miss You.
Bisoux !

Il n'y a pas assez de soleil, pas assez d'espace, pas assez de tout pour que j'oublie ma solitude et ton absence. Le ciel bleu ne m'étourdit pas autant que ta présence. Oh, j'aime et j'apprécie ces quelques jours dans ma maison d'enfance. Mais il y manque le quelque chose qui fait que c'est ma vie à moi... Qui fait que je me sente tout à fait bien.

L'humeur de mon coeur


Elle avait le coeur comme une éponge. A l'automme, la pluie qui tombait la remplissait, elle avait le coeur qui explosait, puis la neige dansa dans les air, et elle avait le coeur qui gelait, le printemps réchauffa son coeur mais quand l'été vient, son coeur devint plus aride que le désert et alors elle s'effondra.