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Lundi 25 Août 2008.

La date me fait penser à Noël. Déjà. Je pense un peu trop à un monde de fées, de lumières dorées, de rires d'enfants, de jeux innocents, de cadeaux rigolos... Je n'ai pas envie que les vacances finissent (et je le répète pas moins de dix mille fois trop.) Et cependant... Et pourtant.... Qu'est-ce que j'en ai assez d'être ici. Comme un lion dans sa cage, je rêve de liberté. Liberté. Mot bizarre. Au sens maltraité. Car je suis libre, quel être est plus libre que Moi ? J'aimerai savoir. J'ai affirmé être heureuse. Quelle drôle de condanation. En une semaine je ne le suis plus. [Enfin, j'exgère, mais ça fait toujours mieux d'exgérer]Trois sourires par ci, une grimace par là, des yeux qui pétillent et les dents qui grincent brusquement, les conduits lacrimales qui chauffent et une respiration par trop contrôlée. Moi dans tous mes états dans une journée comme aujourd'hui. - Et pourtant, je me serai cru à Noël (justement). J'ai fait l'acquisition de quatre paires de boucles d'oreilles : des chats, des soleils, des coccinelles, des carrés d'argent (trop compliqués à décrire, mais très jolis à mon goût); un gilet noir, une veste marron claire; des baskets. Et malheureusement pas de Henné. [Bouh!!!]. - La nuit tombe, je fatigue. Je vais peut-être regarder rebecca, ce soir, seule dans mon grand lit, dans ma grande chambre, avec les velux donnant sur le ciel pas étoilé du tout, sombre, profond, un peu trop ténébreux. J'ai déjà vu Le Zèbre, et puis No Country for an old Man ou qqch comme ça. - Y a une chose qui m'attriste ce soir, je n'ai pas écrit de partie du livre sur l'Utilité des Vacances. XX me manque un peu, Maud de Normandie aime trop la compagnie et les blagues de Ulysse de Perpignan [au fait j'ai toujours pas Open Office]. ^^. I go speaking with my friends. Bye bye.