samedi 11 octobre 2008

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Je déplore mon incapacité à m'exprimer.

Je déplore cette dépression qui semble atteindre le monde.

Je déplore mon intolérance.

Je déplore l'absence d'émotions dans mon monde actuel.




ô Soleil, est-il imaginable que je suis autant perdue ? C'est le week-end, c'est presque les vacances. et j'aimerais encore et toujours apprendre à jouer du piano. Avoir le permis, quel rêve illusoire, quel inconsistance de notre indépendance, c'est un mirage d'autonomie, une apogée de dépendance. Et je veux être libre ! Moi, avoir trop de style ? Si seulement je pouvais me dompter face aux mots. Toujours, je vais de surprise en surprise, de découvertes en découvertes et bien entendu de redondance en redondance ! Etrangeté que le bleu. Cocasserie que ma folie. Ah! Je viens de chasser une vilaine abeille de ma maison. La bêbête est retournée dans sa nature tandis que moi-même je m'enferme dans ma virtualité tant apprécié.



Croquons une pomme, mangeons du pain, dégustons une glace...



Je me dis que si jamais Vincent (qui m'a interrogé sur ma vie intranet) passe par ici il va vraiment s'interroger sur ma santé mental... faut pas s'en faire, j'ai toujours été -plus au moins- ainsi. Mais aussi toujours d'un naturel optimiste, rieur, et ouvert !



A bientôt bande de "Sinistre !

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