mardi 28 juillet 2015

Like a dream


De retour du pays de l'imaginaire, je suis là, le cœur confus mais la tête heureuse. Ou bien est-ce l'inverse ? Je m'abandonne à la déraison, papillon qui s'envole. Si seulement il n'y avait pas de choix.

Pars, pars, envole-toi. Oublie moi. Je ne pense pas à toi.

La douceur des moments passés s'efface dans le temps qui passe mais l'ivresse demeure ce qui nous motive à retrouver ces instants précieux. J'ai recommencé à rêver. Je suis dans l'attente. Curieuse, je ne dirai pas non.


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